Theodora Richter is a French-German artist living and working in New York and Miami.

Her work process always starts with film or photography. Depending on the subject and the places, she adapts the type of cameras she uses, iPhone, disposable waterproof film camera, vintage Leica or médium format digital camera, and considers herself, in that step, primarily a documentarian recording what she sees and hears. In her studio, she then deconstructs these images in order to give them a different dimension : people or decor elements are often detached from their original familiar context and reintegrated in installations or collages. Signs and patterns, social structures become decipherable to those ready to see. She often uses recycled cardboard, paint, glitter, but also plastic, fabric and other randomly found elements. A process that is a way for her to give shape to her concerns, and question : in a society living in the cult of money and entertainment, what is left for the respect of humankind and nature?

Richter studied Political Sciences, Anthropology and Sociology at the Institut d’Etudes Politiques (IEP) of Aix-en-Provence, and British and North American Literature and Civilization at the Sorbonne in Paris. She then worked as a journalist and a photographer in Paris before moving to the US in 2016.

Theodora Richter est une artiste franco-allemande qui vit et travaille à New York et Miami.

Son médium de base est la photographie, qu’elle utilise comme point de départ de chacun de ses projets, ainsi que la video. Adaptant ses appareils aux lieux et sujets qu’elle part photographier, iPhone, appareil jetable, petit Leica analogique, moyen format digital, elle se considère avant tout, à cette étape du travail, comme une documentariste. Dans son studio, elle déconstruit ensuite ces images pour leur donner une autre dimension ; les personnages ou éléments de décor sont souvent extraits de leur contexte (d’une vision familière ou attendue) découpés puis réintégrés dans des installations ou des collages. Signes, motifs, récurrences et structures sociales apparaissent alors a ceux qui sont prêts a voir. Elle utilise souvent du carton recyclé, de la peinture, des paillettes, du tissu ou des morceaux de plastic trouvés par hasard. Une façon pour elle d’interroger, comme dans la série “Everything is going to be fine”, réalisée a Miami en 2022, la place laissée aux êtres humains, à la nature et aux animaux dans un monde dominé par l’obsession du profit et des loisirs.

Theodora Richter est diplômée de l’Institut d’Etudes Politiques d’Aix-en-Provence en Sociologie et Anthropologie et de La Sorbonne en littérature et civilisations anglaises et nord américaines. Elle a d’abord travaille comme journaliste et photographe a Paris avant de s’installer aux Etats-Unis en 2016.

studio@theodora-richter.com

@theodorarichter_studio

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